Quelques mots sur Lapleau

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Viaduc des Rochers Noirs vue d_ensemble.JPG
Etang du Vendahaut  La piscine.JPG
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Au sein d’une nature quasi intacte, sauvage et calme se trouve le village de Lapleau. Le village est niché sur un plateau non loin des gorges de la Dordogne. C’est une terre d’élevage dominant à 534 mètres d’altitude.
La commune compte 383 habitants (dernier comptage de l'insee de janvier 2020) et s’étend sur une superficie de 1776 hectares. Ses activités dominantes sont l’élevage bovin, ovin, porcin et piscicole ainsi que l’artisanat.
Lapleau est situé à 15 minutes d’Egletons et de l’A89, à 40 minutes de Tulle la préfecture et à 1heure de Brive et de son aéroport.
Le village s’étend le long de la principale artère. Sur une partie de cette rue, vous pourrez découvrir tout un ensemble patrimonial riche :

  • Mairie centenaire,

  • La Gentilhommière du XVIème siècle : maison d’habitation des Badets de Burg flanquée d’une tour à Bretèche et d’une Echauguette,

  • Château dit « Rouby » du XVIIème siècle(propriété privée) dont la toiture en lauzea été inscrite aux Monuments Historiques,

  • L’église néo-romane cache un véritable trésor religieux médiéval : des chàsses reliquaires caractéristiques des fameux émaux médiévaux du Limousin,

  • Viaduc des Rochers-Noirs (ou de Roches-Taillades) classé aux Monuments Historiques datant du début du XX ème siècle (entre 1911 et 1913) reliant Lapleau à Soursac enjambe la sombre et sauvage vallée de la Luzège. Il fut construit pour assurer le transport par chemin de fer des personnes et des biens de Tulle à Ussel,

  • Le château de Lestranges (Laborie) : il ne reste, malheureusement, que quelques pierres de ce château médiéval (XIème siècle).

Lapleau c’est aussi la nature. Dès que vous franchissez le village, vous vous retrouvez dans une nature sauvage et calme propice aux errances. Pour découvrir cet environnement et les sites pittoresques, arpentez quatre sentiers pédestres balisés (allant d’une durée de 1 heure 30 à 4 heures) disponible en téléchargement sur le site.
Découvrez les cascades de Neyrat, le magnifique panorama sur les gorges de la Luzège, promenez vous au milieu des quelques pierres du Château de Lestranges, admirez les monts du Cantal, du viaduc surplombez les gorges de la Luzège…


Les origines du nom Lapleau

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L’appellation de Lapleau, telle qu’on l’observe sue les quelques documents conservés depuis le X° siècle, a évolué régulièrement jusqu’au XII° siècle. Le premier document conservé au cartulaire de Beaulieu donne Plevis en l’an 936. Par la suite, on note Lapleou (1320), Lapluye (1389), Pluvia (1406), Lapleu (1438), Lapleau (1600). Les différentes interprétations qui en ont été données ne sont pas convaincantes.


Pendant l'Ancien Régime

Au X°, Lapleau relevait de la Baronnie de La Roche Canillac laquelle faisait partie de la Vicomté de Turenne. L’église de Lapleau (Plevis) dépendait de l’Achiprétré de Gimel et était probablement construite en Bois.
Le Château de Lestranges au nord du village de Laborie fut bâti au XI° siècle par une vieille famille de chevaliers. Jusqu’au XVIII°, cette famille a marqué l’histoire de Lapleau. Les De Lestranges ont fourni nombre de dignitaires royaux ou religieux.
Au XIII°, Bernard De Lestranges a participé à la 1° Croisade, Audoin De Lestranges à la 6°.
Au XIV°, Guillaume de Lestranges, un des plus célèbres, fut l’émissaire de deux papes corréziens (Clément VI et Grégoire XI). Il devint archevèque de Rouen en 1375, puis nonce apostolique auprès du roi d’Angleterre. Il légua une somme d’argent pour réparer l’église de Lapleau. Cette deuxième église datant du XII° siècle était de forme latine. A la suite de cette donation, elle fut restaurée dans le style ogival à la fin du XIV° siècle (ou au début du XV°). Elle fut munie d’une clé de voûte à son transept portant les armes des de Lestranges : deux lions adossés surmontés par un léopard. Cette pierre est conservée au Musée du Cloître à Tulle.
Pendant la Guerre de 100 ans, Geoffroy « Tête Noire » s’empara du château de Lestranges, après celui de Ventadour.
Au XV°, Guy et Antoine de Lestranges ont été respectivement conseillers de Louis XI et de Louis XII. Au XVI°, Louis de Lestranges fut ambassadeur de François 1° en Allemagne.
La suzeraineté des Vicomtes de Turenne est allée en décroissant depuis le XVI° pour disparaître en 1738.
La plupart des descendants de cette famille ont vécu loin de Lapleau, à la Cour, au Puy-en-Velay, etc… Cet éloignement a conduit à la dégradation de leur domaine lapleaucois. Leur château était en partie démoli en 1774. Il fut affermé et acheté vers 1780 par le sieur Despers de la Borderie.
Deux autres familles de notables ont joué un rôle important en résidant au Bourg de Lapleau et en y construisant deux bâtiments aujourd’hui classés.
La famille Grenier qui fournissait des juges au tribunal des de Lestranges (le titre de marquis impliquait de rendre la justice) fit construire une gentilhommière entre 1570 et 1605. Cet édifice fut construit en trois temps : un bâtiment avec une grosse tour, puis un deuxième symétrique et accolé au premier, donnant un édifice rectangulaire muni de 2 grosses tours de part et d’autre de sa face postérieure. A la fin du XVIII°, la tour de droite fut démolie pour ajouter une petite aile sur l’arrière. La différence de maçonnerie garde la trace de cette tour. Par le jeu des alliances, la gentilhommière passa en 1781 aux Bardet du Burc.
En 1763, un Grenier épousa une Françoise Despers de la Borderie. Le père de celle-ci vint habiter à Lapleau et y fit bâtir le château « Rouby ».
Un historien célèbre, Etienne Baluze, reçut vers 1651 un revenu écclésiastique de la cure de Lapleau. Il fut probablement brièvement prêtre à Lapleau.


De la Révolution à la fin du XXe siècle

A la veille de la Révolution, les paysans étaient propriétaires à 80% des terres qu’ils exploitaient. Le principal grief portait sur les taxes dont ils étaient redevables (redevances seigneuriales et taille royale). Jacques Sébastien Bardet du Burc qui détenait une large part du domaine des de Lestranges s’exila en 1791. Ses biens furent confisqués et une partie vendue comme biens nationaux. EN 1805 il rentra, fut amnistié, ses biens lui furent restitués.
En 1790, les communes furent constituées et Lapleau fut érigé en chef-lieu de canton. Son nom révolutionnaire était Lapleau-en-Gimel en remplacement de l’appellation courante apparue vers 1750, mais non officielle, de Lapleau-Lestranges.
Le premier maire fut son curé Jean-Joseph Brival.. Ce personnage déjà âgé, très érudit, originaire de St-Hilaire-Peyroux,élève des Jésuites, fut professeur de philosophie à Poitiers avant de devenir curé de Lapleau en 1783. Son neveu, procureur à Tulle, le poussa à se faire élire évêque constitutionnel de la Corrèze le 22.2.1791. Il quitta Lapleau, ovationné par la population. Ecoeuré par l’état de décadence morale qui régnait dans sa ville épiscopale, il la quitta lorsque fut institué le culte de la Raison pour se réfugier à St-Hilaire-Peyroux. Les tullistes le raillaient pour son manque de caractère et de charisme, en le traitant d’évêque de la Solane.
En 1791, le second maire de Lapleau fut Martial Job.
En 1796 (An VIII), le Directoire modifia la constitution, instituant une seule administration «municipale» du canton dirigée par un Président. Ce système ne dura que 4 ans.
Avec le Consulat, la fonction de maire fut rétablie. Le nouveau maire de Lapleau, Saint-Forien Delzors resta en poste jusqu’en 1831. Le suivant, Antoine Clair resta 29 ans. On ne retrouva des durées de mandat aussi longues qu’en 1838 avec Hippolyte Rouby (33 ans) et en 1944 avec Jean Marut (31 ans).
Le 1° Empire et la Restauration n’ont pas suscité d’événements originaux dans notre commune.
Sous la Monarchie de Juillet, se concrétisent des travaux routiers amorcés précédemment, par exemple le pont du Chambon en1844 sur le tracé de la route de grande communication de Limoges à Mauriac.
Un bureau de Poste fut ouvert en 1845 dans une dépendance du château Rouby où il sera rejoint en1852 par une brigade de gendarmerie.
La II° République amena l’ouverture d’une école de fille (votée en 1848). Il existait déjà une école communale à Couly.
Le 6.5.1853, à la proclamation du II° Empire, le Conseil Municipal jura fidélité à la Constitution et obéissance à l’Empereur.
Sous le II° empire, le développement des infrastructures prit un nouveau départ. Au niveau de l’urbanisme, a eu lieu le déplacement du cimetière du centre du Bourg vers un terrain communal au Suc Grand. Cela répondait aussi à des préoccupations sanitaires. Ce projet devint effectif en 1863 et dura jusqu’en 1873. Le nettoyage de l’ancien cimetière permit la réalisation de la place de l’Epinette. Ce fut aussi le point de départ d’un développement de la voirie avec pour commencer le chemin vicinal de Faugeras et le chemin rural de Lapleau à la Mazière-basse (1862), effort qui fut poursuivi sur le canton jusqu’en 1913.
Sous la III° République, l’enseignement et l’administration ont repris de l’actualité.
Vote de la gratuité totale dans les écoles de Lapleau,
Installation d’un bureau de l’Enregistrement en 1889,
Construction d’un groupe scolaire – mairie de1898 à 1901.
L’Eglise médiévale s’effondra en Mars 1887. Elle avait été réparée vers 1839. Le reliquaire en cuivre en forme cœur disparut. Deux statues du rétable furent sauvegardées et placées pendant plusieurs décennies dans la chapelle de Chabanne (Cne de St-Hilaire-Foissac). Elle fut reconstruite à l’autre bout de la place en style néo-gothique en 1890. Deux autres églises du secteur durent être rebâti vers la même époque : Egletons 1880-86, Soursac 1878-79.
De 1890 à 1904, poursuite de l’infrastructure routière avec un pont sur la Luzège à la Charlanne-Basse et de nouveaux chemins vicinaux autour de Lapleau.
Ce début du XX° siècle, fit aussi l’époque du partage des terrains communaux : Valleix, le Tillol, La Charreyrie, Faugeras, la borie, Aix (1910), Le Suc Grand (1911), Les Etangs (1912). Le Département se lança dans le développement d’un réseau férré secondaire, les tramways de la Corrèze en 1897. Une première vague, le POC, fut opérationnelle en 1904 autour de Tulle en direction de: Uzerche, Treignac, Argentat, Beaulieu. Une deuxième vague fut lancée en 1905, dont la ligne Tulle-Ussel via Lapleau : le « Transcorrézien ». L’ouvrage majeur de cette ligne était le viaduc des Rochers Noirs sur la Luzège dont la construction fut réalisée entre 1911 et 1912. La ligne fut ouverte en 1913 et inaugurée à Lapleau le 11 septembre par le Président Raymond Poincaré et Hippolyte Rouby, Sénateur-maire.En 1923 des autorails (Sauter, puis De Dion) remplacèrent la traction à vapeur (locomotives Piguet) pour le transport des voyageurs.
Pendant la guerre 39/45, la pénurie de carburant remit la vapeur en service pour les voyageurs et le transport des marchandises et du bois. Après 1945, le rapide développement du trafic routier fit chuter celui du Transcorrézien, malgré la mise en service d’un autorail Billard, plus rapide. La fermeture de la ligne fit effective le 31.12.1959. Les rails furent déposés. Seul le viaduc fut sauvé par la mise en service d’une route touristique Lapleau-Soursac en 1964.La guerre 14/18 amena son lot de tués au combat. Un monument aux mort fut édifié en 1922.
En 1946, un vitrail de l’église leur fut dédié.L’après-guerre vécut un renouveau de l’équipement du bourg :
La constitution d’un syndicat intercommunal d’électrification (1922),
Une première tranche d’adduction d’eau (1929),
La construction d’une nouvelle gendarmerie aux Pradelles (1931),
La construction d’un bureau de Poste et de la salle des Fêtes (1938-40).
Lors de la deuxième guerre mondiale, Lapleau hébergea nombre de réfugiés chez l’habitant. Un Chantier de la Jeunesse fut implanté à Lapleau fin 1940 : le chantier n°20 « TURENNE » avec pour devise « avec loyauté servir ». Il avait pour but de dispenser une formation forestière. Son effectif maximum avoisina les 3000. En septembre 1943, il se déplaça au Risault en Indre et Loire.
La Résistance fut bien représentée à Lapleau (FFI et FTP) comme dans l’ensemble de la Haute Corrèze. En particulier, les cantons de Lapleau et de Neuvic constituèrent le territoire de la 2° Cie de la demi-brigade de l’AS de Haute Corrèze. En Septembre 1944, un Comité de Libération, présidé par Jean Marut, fit fonction de Conseil Municipal jusqu’au 29 Avril 1945 où il fut validé par des élections.
Les mandats de Jean Marut à la tête de la Commune durèrent jusqu’à son décès en 1971. Il lui succéda Charles Clair, Conseiller Général du Canton depuis 1970. Charles ne resta que 6 ans à ce poste, mais conserva sa charge de Conseiller Général jusqu’en 1985, période pendant laquelle il fut un temps, vice-président du Conseil Général de la Corrèze. Ila été Directeur de la Mutualité Agricole jusqu’en 1976).

En 1945, un projet de terrain de sport vit le jour, mais n’aboutit qu’en 1947.
En 1946, l’Abbé Laporte a fait installer à l’église 4 vitraux réalisés par les ateliers Borie au Puy-en-Velay. Deux d’entre eux étaient dédiés nominativement aux combattants morts en 1914-18 et en 1939-45. C’est un cas rare en France.De 1964 à 1972 on peut noter dans le domaine de l’habitat et du développement touristique :
L’ouverture de la route touristique LAPLEAU-SOURSAC via le Viaduc des Rochers Noirs en 1964 (RD89E). Elle fut complétée en 1972 par une route forestière suivant l’itinéraire du tacot pour la circulation des cars et l’exploitation forestière,
L’édification du village de vacances près de l’étang-piscine du Vandahaut en 1966-67,
La construction d’un groupe de 16 maisons individuelles HLM (1972/73),
La création d’un lotissement à Couly (1972),
L’aménagement d’un terrain de camping autour du stade (1972),
Sur la même période, en ce qui concerne les infrastructures (voirie, réseaux) :
La construction d’un réseau d’assainissement collectif dans le Bourg (1966-69),
La réfection de la traversée du bourg (CD16) avec construction de trottoirs (1971-72),
L’aménagement de la place de l’Epinette,
Ces travaux seront poursuivis plus tard dans un plan d’aménagement du bourg.
En 1976, des objets d’art religieux (chasses, monstrances, etc…) des églises du canton furent regroupés dans une vitrine sécurisée de l’église de Lapleau. L’inauguration par Charles Clair, en présence du Préfet et de l’Evèque de Tulle, eut lieu en décembre 1976.

En 1951, pour renforcer la retenue du barrage de l’Aigle ; l’EDF construisit le barrage de St –Pantaléon déviant les eaux de la Luzège vers la Dordogne. En compensation du préjudice subi par la perte de débit de la Luzège, EDF édifia un lac artificiel en 1952 à Lapleau : l’étang-piscine sur le ruisseau des Etangs.

De 1964 à 1972 on peut noter dans le domaine de l’habitat et du développement touristique:
L’ouverture de la route touristique LAPLEAU-SOURSAC via le Viaduc des Rochers Noirs en 1964 (RD89E). Elle fut complétée en 1972 par une route forestière suivant l’itinéraire du tacot pour la circulation des cars et l’exploitation forestière,
L’édification du village de vacances près de l’étang-piscine du Vandahaut en 1966-67,
La construction d’un groupe de 16 maisons individuelles HLM (1972/73),
La création d’un lotissement à Couly (1972),
L’aménagement d’un terrain de camping autour du stade (1972),
Sur la même période, en ce qui concerne les infrastructures (voirie, réseaux):
La construction d’un réseau d’assainissement collectif dans le Bourg (1966-69),
La réfection de la traversée du bourg (CD16) avec construction de trottoirs (1971-72),
L’aménagement de la place de l’Epinette,
Ces travaux seront poursuivis plus tard dans un plan d’aménagement du bourg.
Le 10.5.1965, la clé de voûte de l’ancienne église, portant les armes des de Lestranges et dont il avait été fait don au musée de Tulle vers 1930, fut classée monument historique.
En 1976, des objets d’art religieux (chasses, monstrances, etc…) des églises du canton furent regroupés dans une vitrine sécurisée de l’église de Lapleau. L’inauguration par Charles Clair, en présence du Préfet et de l’Evèque de Tulle, eut lieu en décembre 1976. Elle sera suivie par la restauration des Chasses (1982) et l’électrification des cloches (1983).
De 1976 à 1994, on notera principalement:
la poursuite des travaux d’assainissement: Station d’épuration (1976), postes de relevage (1978)? lagunage surle ruisseau des Etangs (de 1983 à 1991!),
la zone artisanale (1975-76),
Adoption pour blason de Lapleau des armes des de Lestranges: de gueules à deux lions d’or adossés accompagnés en chef d’un léopard d’argent(7.5.1977),
l’agrandissement du village de vacances,
la construction de la nouvelle gendarmerie (de mai 1978 à1980°,
la cession à la commune de l’ancienne gendarmerie en Janvier 1979,
le lotissement de la Croix de Laporte,
la restauration de la «villa Mon Bijou» en Centre Socio-culturel (1984-85),
Lancement du surpresseur de Barriérot pour l’alimentation en eau d’Aix, Faugeras et Laborie,
Ouverture en Novembre 1986 du Centre d’Hébergement Temporaire pour personnes agées (Le Ricoule) après travaux et convention avec la commune de Rochefort/mer en Novembre 1986.


Bibliographie

Etudes spécialisées :

Marcel ESCASSUT . Lapleau, Ed Auteur, Lapleau, 1977, 59p, A4
(Géographie, Histoire, …..)

Marcel ESCASSUT. Les objets d’art religieux des Eglises du canton de Lapleau, Ed. Auteur, Lapleau, 1976, 24p, A4.

Jean-Claude DUBOIS. La Poste à Lapleau et ses estampilles. Ed. Auteur, Lapleau, 2004, 22p, A4

Ancien Régime :

J.B. CHAMPEVAL DE VYERS. Le Bas-Limousin seigneurial et religieux - La Corrèze, Ed. Le livre d’histoire, Paris, 2004, 416p, ISBN 2-84373-550-5.

J.B. POULBRIERE. Dictionnaire des Paroisses du Diocèse de Tulle, Tome 2, Ed. Chastrusse, Brive, 1965, 557p ; (Lapleau pp 54-58)

J. NOUAILLAC. Histoire du Limousin et de la Marche Limousine. Ed. Charles Lavauzelle, Paris, 9° Edition, 1949, 355p.

Ecole :

Gilbert DILLANGE. Les Mathieu, instituteurs de père en fils. Ed. de la rue Mémoire, Tulle, 2002, 149p, ISBN 2-9513026-8-3. (Ecole de Lapleau à Couly)

Transcorrézien :

Gilbert GANNES. Le Transcorrézien. Ed. Denoël, Paris, 1980, 293p.

Jacques MALIGNE. Les Tramways de la Corrèze. Ed. La Régordane, Chanac (48), 1993, 112p, ISBN 2-906984-14-0.

Michel SORBIER. Les Petits Trains de Corrèze. Ed. Le Transcorrézien, Lapleau, 2003,130p